Le papier peint panoramique voit loin

Depuis sa création au 19^ème siècle, le papier peint panoramique n’a de cesse de nous transporter dans un univers réel, poétique ou fantasmé. Un parti pris qui sied aux intérieurs en quête d’originalité et de personnalité.

© Au fil des couleurs

Le come-back du papier peint panoramique

Tropical, floral, antique ou géométrique, le papier peint panoramique s’inscrit comme un élément décoratif majeur cette saison. Un « revival » remarqué et remarquable pour celui qui était tombé en désuétude à la fin des années 80. À nouvelle époque, nouveaux graphismes !

© 4 Murs

De panoramas en paysages

Si les paysages trompent l’œil en toiles de fond, l’heure est plus que jamais à la diversité. Le papier peint panoramique plante des décors oniriques, graphiques ou exotiques.

Ces ambiances aux parfums d’ailleurs prennent vie sur un pan de mur du salon ou de la salle à manger. Un assemblage de lés à mettre en scène et en valeur par un mobilier et des accessoires sobres. La tendance « Urban Jungle » s’en empare, combinant mobilier naturel et végétaux vivants ou figuratifs.

Ananbô, un voyage dans le temps

Dans un esprit raffiné, n’hésitez pas à choisir un panneau décoratif de la marque française Ananbô. En effet, leurs collections Andaman, jardins ou paysages lointains possèdent ce quelque chose de plus qui s’apparente à l’œuvre d’art. L’impression sur papier intissé sort tout droit de l’atelier bordelais pour un résultat irréprochable. Bien sûr, la perfection a un coût autour de 200 € le lé. Mais, on ne change pas son papier peint tous les ans, non ?

© Ananbô

Graphique, abstrait ou figuratif

Vous redoutez de vous tromper ? Optez pour le papier peint monochrome qui correspond à une valeur sûre. Tout de noir et de blanc imprimé, il encadre les canapés et habille les têtes de lit avec une élégance raffinée.

Les modèles abstraits imitant la matière (béton, rouille, cuivre) constituent également une excellente alternative aux fresques figuratives.

Le papier peint panoramique s’invite aussi dans les chambres d’enfant en version acidulée, ludique ou animale.

© Isidore Leroy

Et que dire des lieux de passage (couloirs ou montées d’escalier) qu’il dynamise par ses aquarelles, ses motifs graphiques ou ses effets de reliefs électriques.